Aux États-Unis, la menace de quatre vulnérabilités de type « zero-day» affectant la sécurité de Microsoft Exchange (et par ricochet l’usage du client de messagerie Outlook) est en hausse, plaçant Washington sur le qui-vive, où l’on craint un scandale de type SolarWinds. Malgré les récents correctifs apportés la maison mère, un certain nombre de systèmes...